Le mercredi 16 décembre, invité sur BFMTV, le chef de l’Élysée, Guillaume Gomez, a dévoilé les coulisses des cuisines de l’Élysée. Brigitte Macron y joue d’ailleurs, un rôle clé.
Brigitte Macron : Les secrets des cuisines présidentielles
La Première Dame, Brigitte Macron est chargée des cuisines du palais présidentiel. En fait, ce mercredi 16 décembre, le chef de l’Élysée, Guillaume Gomez, figurait sur le plateau de BFMTV. À l’occasion de la publication de son ouvrage sous le titre « À la Table des Présidents » (éd. du Cherche midi). Dans ce livre, le Meilleur Ouvrier de France (MOF) remercie ses « patronnes ». Un détail qui n’a donc pas échappé à Roselyne Dubois, la journaliste de la chaîne d’information en continu.
Des traditions qui perdurent à l’Élysée
Interrogé sur ce sujet, l’auteur Guillaume Gomez levé le voile sur la manière dont les menus étaient sélectionnés, au nᵒ 55 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, à Paris. Il révélé que les Premières Dames « sont [s]es interlocutrices ».
Brigitte Macron: Chacun son rôle
Il a précisé également : « Ça a toujours été les interlocutrices des chefs de cuisine. J’ai un rendez-vous hebdomadaire avec Madame Macron. Ce sont les Premières dames qui, en fonction de l’agenda, vont sélectionner les menus. Ensuite, on va les soumettre au président de la République. » A déclaré celui qui a détenu la qualification de Chevalier de l’ordre national du Mérite, par Nicolas Sarkozy en 2012. Le rôle majeur que tient Brigitte Macron est donc une nécessité. Par ailleurs, « la décision des menus » appartient au chef de l’État comme l’a déclaré Guillaume Gomez.
Un menu moderne dans une cuisine antique
En effet, Dimanche 9 août, Guillaume Gomez a dévoilé certains des secrets de la cuisine présidentielle à « Midi Libre ». Dans une interview, il évoquait les gouts du chef de l’État Emmanuel Macron. « Même si vous êtes ici dans un lieu ancré dans l’histoire, avec des dorures, il n’est pas figé. Plus personne ne mange la cuisine qu’on faisait il y a vingt-cinq ans. Elle s’est allégée, les repas sont plus rapides », explique celui qui a donc servi sous les ordres de Jack Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande. Il a ajouté : «« Comme nous faisons du service à la française « les convives se servent dans le plat ». Cela nous permet de réutiliser les restes, le lendemain d’un dîner d’État, pour le personnel.»